Aujourd'hui, il craint les pouvoirs et les découvertes de la sensibilité.
C'est cette fuite dans le rationnel qui m'inquiète.
Les grands responsables, « ceux qui ont influencé Roger C. dans ce sens », sont en premier lieu Dumézil (que je trouve un très curieux personnage, mais néfaste pour ceux qui se laissent prendre à ses jeux : je l'appelle « Baron Samedi ») et Yvette Billod, actuellement Cottier (qui, lorsqu'elle était la femme de Roger, luttait contre sa sensibilité, parce qu'elle craignait toute aventure), puis à un moindre degré Victoria Ocampo (qui a eu un peu la même attitude qu'Yvette, mais dont l'influence s'est surtout exercée sur le plan moral).
Dans l'art et la littérature, qui m'intéressent, cette fuite ne peut que tout fausser.
Pour Roger, qui me touche et auquel je suis très affectueusement attaché, elle est une menace d'appauvrissement, de déception et de chagrin.
Jean-Michel se joint à mois pour vous envoyer nos affectueuses salutations.
A dimanche donc, sous le feu....
Fidèlement
vôtre
Blaise Allan