Je vous revois toujours avec une émotion qui me surprend. La lecture du cahier de Joë Bousquet m'a profondément touché ; plus parce qu'elle révèle sur Jean Paulhan que sur Bousquet.
Je tiens beaucoup au projet NRF.
A demain, cher Jean Paulhan, et croyez à mon amitié, à mon affection – et à quelque chose d'autre, que le mot de révérence traduit imparfaitement.