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le 7 mars 1935

Cher Moncieur,

Notre Comité ne retient pas Sous le soleil marocain. Je ne l'ai pas lu, pour moi, sans plaisir. Peut-être le voudrais-je un peu plus net, plus tranché, et faisant moins de concessions à l'abandon et au vague.

Croyez, je vous prie, à mes regret, et à mes meilleurs sentiments.

J. Paulhan