Merci, cher ami, de vos si précieuses observations qui m'incitent à travailler, à décanter ; et me poussent, comme le fervent alpiniste, à me jouer des rocs afin d'atteindre – qui sait ? – les hauts sommets de l'inaccessible montagne.

De tout cœur, à vous.

Jean Arabia

P.S. Je vous joins le poëme : L'Amitié

Avec les fêtes qui approchent je suis encore plus pris que de coutume.

Je n'ai pas eu le temps d'aller voir M. André Bey [Bay], chez Stock, pour lui remettre le manuscrit.

J'espère y aller, tout de même, prochainement, et viendrai vous surprendre rue Sébastien-Bottin.

Je viens d'adresser une lettre à Monsieur Gaston Gallimard, concernant la critique du livre de LA VIE TOULOUSAINE.

Peut-être vous en parlera-t-il ?

Les travaux de la pendule avancent. Je crois, de plus en plus, que j'arriverai au bon résultat escompté. Patience.

Encore vôtre

J. A