à mon sens, sont le point final absolu des Étoiles et Bolides ». Le chapitre V avait arrêté la première partie.
Le chapitre VI qui clôt le recueil, se compose ainsi de deux parties.
I. Les feuillets épars (ce sont les derniers poëmes que je vous ai remis en plusieurs fois)
II Magiciennes et Luciférines. que je vous adresse aujourd'hui.
Je crois que nous approchons de 6000 lignes, avec votre remarquable AVIS.
Il me semble bien qu'il ne s'agira pas là d'un tout petit recueil, où [ou] d'une petite course d'une centaine de mètres incapable d'attirer l'attention de la critique ?...
Au sujet du Roman. « Lolita où [ou] le sang des Hommes » ‑ c'est mon premier galop vers le genre qui a tant de succès – dont je vous ai parlé.
J'avais bien démarré, mais cela n'a pas duré. Quand on veut faire de la prose bonne, en principe – ou mauvaise – il faut oublier absolument « La jeune fille aux seins de libellule », tout du moins pendant quelque temps.
Je parle pour moi, pour les autres, je ne sais pas. Maintenant que les « Étoiles et Bolides » sont achevées, je verrai si Lolita me sera docile.
A bientôt, cher ami, merci encore, et croyez-moi en toute affection et de tout cœur, fidèlement vôtre.
Jean Arabia
P.S. : La pendule de votre salle de jeu est bien au point et marche comme un amour. Je viendrai vous l'apporter Lundi prochain 23 juin, vers 11 heures, et verrai la « terrible boudeuse » de votre bureau. Si vous n'êtes pas libre ce jour-là, téléphonez-moi, S.V. P.