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définitivement à Thuir, le 25 Août ou le 26 au plus tard. (je vous expliquerai de vive voix, car si vous êtes empêché de venir ici, je prendrai un proche mercredi à La NRF comme je le fais souvent.) Je vais encore pécher – mais en belle sagesse – et DIEU l'incompréhensible m'absoudra, certes – ces « notes sur l'Érotisme en littérature MAURIAC François, « Notes sur l'érotisme en littérature », dans Le Figaro Littéraire, n° 641, 2 août 1958, p. 1 et suivantes. Voir également la correspondance de Jean Paulhan et François Mauriac (François Mauriac & Jean Paulhan, correspondance 1925-1967, édition annotée et présentée par John E. Flower, Paris : éd. Claire Paulhan, coll. « Correspondance de Jean Paulhan », 2001 (réédition revue et augmentée, même année, même éditeur). » (3) me tourmentent un peu, d'abord parce que si « les chrétiens ont souvent pris Sade… au sérieux » c'est que la BIBLE très souvent n'est pas sérieuse ; ensuite, que ces Notes mériteraient un assez long texte concernant l'érotisme en littérature et hors littérature, et qu'un tel texte auquel je songe – même tramé sans qu'il puisse contrister en rien notre cher ami MAURIAC – ne serait pas publié par La Nouvelle [Nouvelle Revue Française]. Surtout n'allez pas croire que ces dernières lignes ne sont pas batifolantes. Je ne perds le « batifolage » et ses bons frères batifolants qu'à mon établi d'horloger. A bientôt ; mes mains fraternelles. Jean ARABIA  (1) page 8  p 1 ... (2) Le Figaro Littéraire du 2 Août 1958 p 1 ... (3)

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