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[1936] 27 juillet Cher Jean, Les Fleurs de T.  [Les Fleurs de Tarbes] m'enchantent (je viens de lire la 3ème partie). Je ne cesse de les trouver très belles ; mais je les lis aussi, égoïstement, pour mon propre avantage. - Il m'est bien venu quelques petites objections ; mais je veux attendre la fin avant de te les présenter. - Le Benda est très bon, dans ses limites et l'orgueil de ses limites. J'ai lu aussi avec plaisir la partie critique du n°. C'est très vivant (à part la note de Francis sur Kessel ; non que je souhaite un éreintement de K. [Kessel] ; mais, par exemple, qu'on précise ce qu'il y a en lui de force brutale. Ce par quoi il touche ses lecteurs) Mesures. J'aime bien la Ferme (où l'on sent si bien l'auteur derrière sa phrase), moins la Peur, bien mal écrite. Mais ce ne sont pas deux nouvelles, ce sont deux fragments. Je n'ai fait que parcourir le reste (mais assez pour trouver le n° très plaisant) ; J'ai relu Leiris avec plaisir, et beaucoup goûté Kleist. J'aime beaucoup plus Mesures que Commerce ; c'est moins froid, moins snob ; on y trouve moins de recherche, et plus de recherches.

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