Julien Benda chez leAjout à la main au papier à en tête du Docteur Bosquet.

Coutances, le 28 juillet. [1928] Cher ami,

je voudrais bien revenir à Paris – pour causer avec vous des deux derniers articles de la Fin de l'Eternel et de l'article que vous avez bien voulu m'envoyer – le plus tard possible. Auriez-vous la bonté de me dire quand serait ce « plus tard possible ». Je crois que ce pourrait être le 11 août. Nous enverrions alors à la Abbeville une copie sur les épreuves de laquelle je ferais peu de retouches.

Merci de l'aimable offre que vous me faites d'aller vous visiter à Port-Cros. Croyez bien que j'en userai l'an prochain, si mes adversaires me laissent encore en vie.

A bientôt, et avec mes meilleurs souvenirs J.B.

Puis-je vous prier de transmettre mes respectueux souvenirs à Madame Pascal. –

Je souhaiterais beaucoup, quand je vous reverrai, d'avoir la référence de cette pensée de Taine, dont vous me disiez que votre père vous la donnerait.