3 août [1937] Cher ami,

j'ai envoyé à Bussières ce qu'il avait déjà composé en placards ; avec mes ajouts et corrections, cela doit faire 26 à 27 pages. Je vais [mot biffé illisible] vous envoyer à Paris dans 3 ou 4 jours une suite, qui fera une dizaine de pages encore de la revue. Je vous prierai de les lui adresser [mot biffé illisible] pour qu'il les compose. Puis nous verrons où nous ferons la coupure.

Amicalement à tous deux.

A Vaux (Ch. inf.) demain.

[ajout entouré] enverrai notes parues sur l'Espagne