« Attendre la fin » me dit Becker mais l'attente est pour moi une angoisse profonde. Je me reproche de vous écrire ceci. Maintenant q [que] tout est perdu je regrette de n'être pas comme tout le monde, j'envie la puissance pour exercer ma tyrannie, l'argent car si Robert part c'est faute de situation avec de l'argent j'en faisais mon secrétaire et j'étais sauvé, q [qui] plus est lui aussi, j'envie l'abjection q [qui] me sortirait de moi. Dire qu'il suffirait d'un rien pour être heureux. J'ai peur de la solitude parce q [que] je ne suis ni sage ni créateur.