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(Il joue volontiers le mystérieux…) serait des plus improbables. Les références datées pp277 et 284 sont surtout là [rature] pour situer ma riposte à votre : « Personne, ni Valéry lui-même, (n'a) jamais songé à donner à Valéry son vérittable nom ». Quant au bas de la p.295, il me faut bien convenir de ma légèreté. L'opinion que je vous y attribue, vous l'aviez au moins incidemment soutenue : je donne la référence. Mais il est évident[deuxième feuille, horizontalement en bas de page, à gauche] Et j'eusse dû la videre plus tôt !que l'opposition P.V.-J.P. [Paul Valéry – Jean Paulhan] est tout autre. – Et autrement compliquée ! Car la rhétorique valéryenne est à 2 paliers : 1° la rhétorique gladiatorienne 2° une seconde rhétorique destinée à cacher la première. Et votre loi est à 2 tranchants… Bien ingénieuse, en son cheminement, votre « Petite préface.. » Particulièrement efficace, au départ, votre analyse si ordonnée des faux-fuyants de la critique. – Mais les philosophes me semblent bien gros[à droite] ou si vous préférez leur cas me semble trop spécial. Les prendre comme principal exemple c'est prêter à méprises. pour faire comprendre l'illusion des « grands mots » à qui n'en aurait jamais entendu parler. (Tous les lecteurs de « la Table ronde » sont-ils censés avoir lu « les Fleurs.. »?) In fine… Je me demande bien comment vous pourrez répondre (sans esquive) à cette question vôtre : « ..si l'erreur porte de tels fruits, comment la vérité n'aurait-elle pas les siens ? » Le problème inverse (Pourquoi faut-il de telles erreurs à l'origine de tels fruits?) me séduirait davantage. Il me semble que : telles circonstances, tels tempéraments, réclament – pour établir leur équilibre – telles erreurs compensatrices. Je pars le 27 pour Meynard, par Ribérac (Dordogne).Bonnes vacances, à vous aussi.

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