[écrit à Gaillard (Fond du cœur)]
28 Novembre [1927]
Cher Monsieur, me voici bien en retard pour vous adresser quelques notes sur les « œuvres de poëshie » que vous aviez bien voulu me remettre. Voici quelques jugements sur Essenine et Cocteau. Peut être trouverez vous que j'ai été sévère pour l'auteur d'Opéra. Je n'ai point la naïveté de penser que je lui « rendrai service : mais je crois que la poésie qu'il fait