Pour moi, je crois que tout acte positif de création littéraire est un acte synthétique où la pulchritudo vaga résultant des combinaison de mots et de rythmes se mêlent toujours se mêle toujours à la pulchritudo adhaerens résultant de la fidélité du rendu. Pardonnez moi ces termes un peu pédantesque, mais commodes et qui vont vite. Or le critique est le plus souvent un pur analyse, s'attachant à juger la pulchritudo adhaerens, parce que l'autre échappe à ses grosses pattes et par un grossier présupposé d'absolu et de réalisme. Et puis le critique est celui qui regarde l'œuvre en renversant la lunette. L'artiste et lui ne peuvent jamais s'entendre
Je soupçonne aussi que la vraie définition du critique est la suivante : le critique est l'homme qui ne lit pas, persuadé qu'il n'a pas besoin de lire pour juger. Et ne lisant pas il s'arroge à