longuement occupé. Ce que vous dites des interprétations de Levy-Brühl me paraît acquis pour toujours. La lumière dont vous éclairez les recoins de tous nos raisonnements est si pénétrante et si fouilleuse, que vous êtes toujours spirituel et qu'on est un peu effrayé de votre speculum.
J'ai reçu un mot d'Eluard qui me dit brièvement : « Tout ceux qui ne considèrent pas Benjamin Peret comme le plus grand poète vivant sont de pauvres cons. Par conséquent, et ? G. Bounoure. Hein ? »
Je suis mécontent parce que j'estime que je méritais mieux, au moins quatre pages de coprolalie. Je suis très vexé de cette brièveté.
Bien cordialement
G.B.
Cet article sur Hoppenot était très mauvais : Je crois qu'il vaut mieux ainsi. Envoyez moi toujours ses épreuves, car j'ai l'esprit très lent et comme à M. de Roannès, les idées me viennent après.