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Beyrouth, 17 janvier 1929 Cher ami Ce que vous me dites de votre santé me peine vivement et je forme les vœux les plus amicaux pour que la lumière vous soit rendue et que vous me soyez pas réduit à la seule clarté noire de l'intelligence. Votre lettre par bonheur donne à penser que vous êtes sur le bord de la guérison et que le regard perçant de Jean Paulhan bientôt se posera de nouveau sur le spectacle du monde. Je voudrais vous remercier de tout ce que votre lettre

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