dire tout le profit de pensée, l'enrichissement secret que j'ai tiré des Fleurs de Tarbes. J'ai un peu du caractère de Johannes de Silentio. Il faut me le pardonner.
Je vous en ai un peu voulu de n'avoir publié de ma note sur Bousquet que la partie de critique & de réservesUnique critique de Joe Bousquet par Gabriel Bounoure ("La Tisane de sarments par Joe Bousquet", La NRF, octobre 1936).. Bousquet mérite mieux qu'un jugement purement négatif. Sa poësie n'est point encore devenue forme. Mais elle y tend. Et ceux qui trouvent leur forme trop vite restent sur la grève comme les carapaces de crabes, le ventre en l'air.
Ma femme vous envoie ses bonnes amitiés, à vous & à Madame Paulhan à qui vous ferez agréer mon très respectueux souvenir. Affectueusement à vous
Bounoure