impression que ses idées n'étaient pas à leur place à la NRF – et cependant je comprends aisément que sans la rigueur de sa théorie de l'âme, la « danse » qui en était une sorte de « fruit politique » vous ait semblé très gratuit.
Que voulez-vous ! C'est un malentendu dont je serai aussi triste que vous, car la NRF était toute indiquée pour publier le traité – mais comme ma mère n'est plus là pour revenir sur sa décision, je ne puis que m'en tenir à sa volonté écrite.
Je vous envoie mes sentiments les meilleurs.
Claude Bourdet
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