19 septembre 1935
Cher Monsieur,
J'attendrai donc (impatiemment) les poèmes, traduits de St[efan] G[eorge]. Ce que votre mère m'en avait écrit (trois strophes à peine) était merveilleux.
Je donne le bon à tirer des poèmes.
Quand doit paraître Peau d'âme ?
Je suis à vous très cordialement,
Jean Paulhan
Signature manuscrite