que voici. Maintenant il me reste encore à te rendre le peu d'or que j'ai amassé pour toi. Je voudrais aussi te montrer tout ce qui me reste à vendre. Parmi cela il y a certaines choses que tu consentirais peut-être à m'échanger contre bien des choses que j'aimerais te montrer. Sois donc gentil et dis-moi quand tu pourras venir jusque chez moi pour juger tranquillement avant d'aller déjeuner aussi tranquillement ; dis-le moi, dis.
Amitiés à Madame et Monsieur Fred
Et tout à vous deux
Robert