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[Lettre 2 feuillets datée une première fois 48/49 ? puis barré par une autre écriture qui a ajouté : Cf. 1951-1952 ? cf. in Cahiers de la Pléiade le vol XIII : automne 1951 – printemps 1952, p.17 Marcel Arland : B. Constant et Cécile ; pp. 93 et 108 M. Brod : Lettres de Kafka et le Château] Le 10 sept.[septembre] Chère Marie-Anne Oui, CargèseVille natale de Marie-Anne Comnène. doit être bien beau, et je voudrais le connaître. Je n'ai pas bougé de Paris (nos enfants sont absents, et je ne pouvais laisser Germaine seule). Il est vrai que Paris y a mis du sien : Août a été frais, septembre tourne au glacé. Et que de belles avenues désertes, où seul un Danois, de temps à autre, agite ses cheveux rouges. Avez-vous aimé les derniers Cahiers Il s'agit peut-être du numéro 13 des Cahiers de la Pléiade qui paraît à l'automne 1951-printemps 1952. ? Il me semble que le dernier chapitre du Procès est assez passionnant (et comme l'on comprend que Kafka ait finalement renoncé) ; et les conditions que pose Benjamin Constant à ses fiancées assez passionnantes aussi. Pour ne parler que des morts. Les derniers… dans tous les sens, j'en ai peur. G[aston] G[allimard] voudrait ressusciter la NRF. (Est-ce très nécessaire ? Je suppose qu'en ce cas Arland la dirigerait avec moi. Mais…) au revoir, Marie-Anne. Avec mon amitié Jean P. Je n'ai guère travaillé, en

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