Vendredi
Chère Marie-Anne
La vérité est qu'un Français qui intervient en ce moment dans le monde, pour une question de justice, se rend (à mon sens) ridicule.A propos du procès Beloyannis (cf. lettre de MAC, PLH_125_020536_1952_08). J'ai expliqué pourquoi parce qu'il est trop facile de lui répondre : regardez ce qui s'est passé – ce qui se passe – chez vous. Cela dit – si vous croyez que je puis contribuer à quelque bien – je me rends joyeusement ridicule. Disposez de mon nom. Je serais content qu'il ne fût pas trop loin du vôtre. A vous
Jean P.