J'ai été au plus pressé. J'ai mis un second télégramme à Plastiraser mars 1952, Nikos Beloyannis est condamné à mort et exécuté le 30 mars 1952, ainsi que quatre autres personnes, malgré les appels à la clémence venus du monde entier.
Jean Paulhan
Pardonnez ce style télégraphique qui n'était pas votre style et j'ai écrit à L'huma[L'Humanité ?] ceci : veuillez ajouter à vos protestations en faveur de B[eloyannis] celle de Jean Paulhan qui vient de signer mon second télégramme à Plastiras.
J'espère n'avoir pas agi maladroitement mais je suis sûre que votre nom fera pencher