la NNRF de décembre 1953, Maurice Blanchot donne une chronique intitulée « L'œuvre et la communication » (pp.1064-1071) et une note sur le livre de Dyonis Mascolo, Le Communisme (Gallimard).
Cher ami, j'espère que vous allez toujours bien.
J'ai eu ces jours derniers un grand chagrin. Ma sœur aînée dont vous aviez un jour aimé et confisqué la lettre est morte à Cargèse. Elle n'était pas jeune puisqu'elle avait dix-huit ans de plus que moi
Recevez toute mon amitié fidèle.