tant à cause du calembour mais parce que fuir a toujours été pour moi le contraire de connaître. Il faut se laisser un peu ennuyer par les gens et les choses pour arriver à voir clair en eux… et souvent en soi-même par rapport à eux. Toujours sans nouvelle de l'heureuse étudiante en médecine qui habiterait à volonté sous votre toi [sic] ou sur celui d'un couvent. Peut-on rêver chance plus grande [pour ?] la prochaine révolution ?

Je suis encore ici pour 10 ou 15 jours et n'ai pas du tout l'humeur voyageuse. Sans doute est-ce cela vieillir ?

Votre Marie-Anne