Si pour contenter ma puérilité de vouloir conserver mes deux syllabes avec l'accent tonique sur la 2ème [illisible] vous me dénichiez un grand poète contemporain, je dirais amen tout de suite… et d'autant plus volontiers qu'il serait plus négligé – et obscur. Mais pour Mao on serait sûr de pouvoir citer quelque chose de très bien. Je vais chercher.