Décembre n'est pas un mois triste ! Mais les malades, hélas, sont toujours malades ! Et j'y pense affectueusement. J'ai aimé beaucoup dans la dernière NRF Novalaise
Charles-Albert Cingria, « Novalaise » (La NNRF, décembre 1955, n°36, pp. 1091-1105). et MontherlantHenry de Montherlant, « Carnets (Année 1931) » (La NNRF, décembre 1955, n°36, pp. 1025-1039).. BoissonnasEdith Boissonnas, « Etrusques » (La NNRF, décembre 1955, n°36, pp. 1186-1188). serait bien si elle était un peu détendue.
PS : Mais on pourrait aussi renoncer à la petite cadence et pour nous mettre profondément d'accord changer de poète [encore ?].
Moi je donnerais tout le lot pour une chanson d'Eluard que le Père Noël après tout pourrait paternellement appeler Paulo.
Ceci est un bateau
Qui va sur une rivière douce
Il porte des femmes qui jouent
Et des graines qui patientent.
(ou bien)
Un matin qui disperse des lampes de rosée
Pour éveiller les champs
Ceci est une ombrelle
Et ceci la toilette
D'une dentellière plus séduisante qu'un bouquet
Au son des cloches de l'arc-en-ciel
(La Rose publique [?])
Il faudrait simplement un [mot illisible] au mot [mot illisible]