Vous visualisez actuellement un média autre que celui transcrit/à transcrire.
Paris, le 7 janvier 1957 Cher ami Je suis contente des bonnes nouvelles que vous me donnez de GermaineCf. lettre de JP, PLH_125_020878_1957_03. Quel dommage que le soleil de Cargèse ne tente pas sur elle ses miracles. Je pense y aller avant la fin de l'hiver. Vous devriez y venir, ou y aller même en mon absence. Les clés sont toujours à votre disposition avec la brave femme sarde qui vous ouvrirait la porte et vous ferait votre ménage. Non je n'ai rien lu sur Cargèse de ThomasHenri Thomas, La Nuit de Londres (Gallimard, 1956). Cf. lettre de JP, PLH_125_020878_1957_03. et pas encore sa Nuit de Londres. Je suis très touchée par ce que vous me dites d'OlivierMarie-Anne Comnène, Olivier ou la lumière de septembre (Les Editeurs français réunis, 1956).et plus encore que vous ayez gardé le souvenir de Rose ColonnaMarie-Anne Comnène, Rose Colonna (Gallimard, 1930). ; mais savez-vous que vous me disiez déjà il y a 27 ans que dans Rose Colonna il y avait trop de bons sentiments. C'est donc la preuve qu'ils sont, chez l'auteur, irrémédiables puisque 27 ans d'une vie pas tellement rose ne les a pas tournés au noir ! Tout de même, trouvez-vous que les sentiments de la jeune Dorothy envers Pauline sont de bons sentiments ? Il faudrait alors donner à la haine le titre de bon sentiment. Hélas, bien sûr, Gallimard devrait réimprimer Rose Colonna et si vous vouliez vraiment vous amuser à user de votre pouvoir vous devriez obtenir de son fils ClaudeClaude Gallimard (1914-1991). qu'il en donne la permission ou le conseil à son papa. Mais cette

Conseils