Je reçois aujourd'hui cette gentille lettre de Lietta (la fille de Pirandello) ; elle m'envoie aussi 2 journaux de 1936, du lendemain de la mort ; tout y est relaté comme je vous le disais ; l'un de ces journaux dit expressément : Non una parola, non un grido Pas un mot, pas un cri.
Le corps a été brûlé au Verano et les cendres ont été transportées à Agrigente, jetée au vent en faible partie, gardées dans une très belle urne au musée en plus grande partie. Mais Lietta m'envoie traduit en italien un article de H. Mercadier paru dans le Messagero du 11/12/36