et nous ne saurons plus rien de cet amour réveillé ni de ce petit palais promis qui annonçait la féérie des yeux et du sentiment. Je ne crois pas que le lecteur moyen pardonne ces choses mais le vrai lecteur – où se trouve-t-il ? – qui a pensé à l'avenir de l'écrivain, ou plutôt à son devenir a peut-être certaines raisons d'être confiant. Et je vois bien que Jean Grenier est confiant ce qui me paraît très significatif. Pourtant Giraudoux ou même Alain Fournier auraient tiré de cette histoire quelque chose de plus riche de plus émouvant… Régnier, à force de ne rien vouloir ajouter à sa vision élémentaire nous fait soupirer après P. Loti [Pierre Loti]. Toute l'amitié de
Marie-Anne (qui doit sûrement se tromper).
Ce n'est qu'au bout de mon 4ème cachet de phosphore que j'ai re-su que la petite ville voisine de la campagne de FrancisFrancis Crémieux, le fils de Marie-Anne Comnène. s'appelle …. Etampes !
N'est-ce pas très alarmant ?