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[1927] Wezembeek-Brabant 8 avril 27. Mon cher Paulhan Si je n'ai pas répondu plus tôt à votre petit mot, c'est que j'allais quitter Paris quand je l'air reçu. Je suis sur les routes depuis six mois, pour quelques jours encore. Je ne toucherai Paris que quelques heures en regagnant la Bourgogne. C'est pourquoi je n'ai pu être des vôtres le G. C'est pourquoi je ne vous verrai sans doute qu'au mois de mai, quand je ferai un nouveau séjour à Paris. J'ai l'air de fuir. Je ne fais qu'obéir à des nécessités. Depuis trois ans j'ai eu fort à faire... Je vous remercie de ne pas m'oublier. Quand vous dites que la N.R.F n'a pas cessé d'être « ma revue », c'est une très aimable façon de parler. Mais cela n'est qu'une façon de parler. Le jour où j'aurai le plaisir de causer avec

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