Mais je crois qu'il faut poser la question en termes un peu différents.
C'est la N.R.F. qui m'a offert de faire la critique dramatique (Rivière après le départ de BoissardLa NRF en 1923.Chronique dramatique. Ecrire des notes me suffisaitL'Imbécile, de P. Bost ; La Locandiera, de C. Goldoni », La NRF, décembre 1923, p. 759-763.La NRF, août 1926, p. 233-237.
Ces chroniques ont fait du bruit dans les provinces, à l'étranger. On commence à poser le problème selon mon énoncé. J'ai besoin de le poser tout à fait. Il y a pour un critique deux ou trois occasions pas plus dans sa carrière où il peut agir sur la production en débrouillant un chaos. J'attribue de l'importance à ma critique dramatique parce que j'ai l'impression qu'elle peut être efficace : en distinguant les deux théâtres, en appelant au théâtre les vrais écrivains (j'ai convaincu GiraudouxLa NRF, juin 1928, p. 867-869 ?
La question est de savoir si l'intérêt de la revue a été compromis par mes chroniques, s'il y a dans le Conseil d'administration de la Revue unanimité ou majorité contre moi, ou si je dois simplement subir le Fait du prince.
Je demande si, simplement parce que je n'ai pas de contrat signé, ou peut me congédier du jour au lendemain et si ce que j'ai fait et fais pour la revue et les éditions ne me méritent pas des égards. Etc…
[Plusieurs mots illisibles barrés]
En résumé, ma chronique m'intéresse, tout le monde