sait que j'y tiens. Voici ma proposition de conciliation :
Je garde ma chronique en mars, avril, mai, juin, juillet. Je m'engage à ne pas écrire chaque mois plus de quatre pages. Au besoin j'accepte qu'en juin par exemple, ma chronique saute à condition qu'une note indique : « L'abondance des matières nous a obligés à ajourner la chronique —. »
(Quatre ou cinq numéros, l'espace d'un roman qu'on déteste)
Après juillet, j'abandonnerai ma chronique, mais à la condition que pendant un an au moins elle ne soit confiée à personne d'autre.
J'aimerais avoir une réponse demain mercredi avant la réunion. J'ajoute (mais non, je n'ajoute rien ; je serai à temps de te dire mes intentions si ma proposition était refusée).
Montre cette lettre à G. [Gaston] ou extrais-en ce que tu voudras pour le lui transmettre. Vous avez ici mon dernier mot.
ultimatum
[conseil?]
(Critique [mots illisibles?] nrf
Revue européenne
engagement départ Crémieux.
Bien affectueusement,
B. C.