Rôdeur d'HerbartLe Rôdeur, par Pierre Herbart », La Nouvelle Revue Française, novembre 1931, pp. 808-810. P. Herbart (1903-1974) épouse en 1931 Élisabeth van Rysselberghe (dont Gide a eu une fille, Catherine, en 1923), fille de ses amis, le peintre Théo van Rysselberghe et Maria (la « petite dame »).La Nouvelle Revue Française, juillet 1930, pp. 112-115.Bourgeois et l'Amour
La Nouvelle Revue Française, décembre 1931, pp. 944-947.Regain
Regain, par Jean Giono », décembre 1930, pp. 889-891.Grand troupeau
Le Grand Troupeau, par Jean Giono », La Nouvelle Revue Française, décembre 1931, pp. 952-954.La Nouvelle Revue Française, novembre 1931, pp. 804-805.os selon toi si purs…
Mais trouver quelqu'un pour faire une note équittable, disons même sympathique, sur Violette Marinier, ça, c'était impossible. Si je souhaitais une note d'Arland ou de Fernandez, c'était parce que [je] ne voulais pas de note de complaisance et que je souhaitais voir établir la part du bien et du moins bien. Mais les notes d'enthousiasme sur R.C. ou V.M., si tu m'avais, au lieu de te taire, consulté, j'aurais pu t'indiquer bien des gens qui auraient été heureux d'en écrire et qui les ont écrites ailleurs, spontanément. Car enfin ces deux livres, que tu as l'air de traiter comme des parias qui dégoûtent tout le monde, ont eu des admirateurs et de qualité. Rose Colonna était un manuscrit anonyme quand le jury de la Revue hebdomadaire a voulu le couronnerLa Revue hebdomadaire publie l'œuvre en feuilleton au printemps 1930. Voir Gallica (Bibliothèque nationale de France). Voir aussi la rubrique « Les Lettres » dans L'Intransigeant du 7 juin 1930, p. 2. Le livre est largement signalé dans la presse.
Quant au fait de refuser une note, je ne croyais pas qu'il n'eût eu lieu qu'à l'occasion de R.C. ou de V.M. Je t'en vois refuser constamment au profit d'autres meilleures ou autrement orientées.
Je m'arrête. Je crois t'en avoir dit assez pour mettre au clair les choses et dissiper les nuages accumulés par trop de silence. Il n'y a peut-être eu de ta part qu'une faute : c'est d'avoir méjugé Marie-Anne et de m'avoir méjugé, et d'avoir agi envers nous comme envers un quelconque PourtalèsJournal de la Guerre 1914-1919.
Bien affectueusement,
P.S. – Comment dois-je interpréter ceci qui me revient ? Germaine me montre en épreuves une note d'Arland avec une phrase très gentille sur R.C. Le n° paraît, la phrase a sauté. Je ne puis croire que c'est toi qui l'as fait supprimer. Mais si c'est Arland, l'amitié ne commandait-elle de le prier de la maintenir ?