voulu? La note de Marcel [Arland] [mots illisibles barrés] (qui eût été la première sur le livre) [mot illisible barré] faussait complètement le sens ; il a admis lui-même qu'on ne la publiât pas et jugé qu'on devait en publier une autre. Tu étais libre de publier ce que tu voulais sans me consulter : tu n'as rien publié.
Pour V.M., tu n'as rien demandé d'urgence puisque la note de Pourrat aurait paru trois mois après le livre. La note de Pourrat a été refusée d'un commun accord par nous deux, non pas à cause des réserves qu'elle contenait, mais parce qu'elle avait l'air d'une note de complaisance, ce qui est exactement le contraire de ce que tu insinues. [Mot illisible barré] Il a été convenu de demander une note à Fernandez et que tu la publies sans me la montrer. Tu as commis une petite trahison en faisant savoir à Fernandez qu'il y avait eu une note de Pourrat refusée et en lui laissant croire que c'était à cause des réserves qu'elle contenait. Fernandez pourrait était et reste encore libre de faire toutes les réserves qu'il voulait veut… [Plusieurs mots illisibles barrés]
Le résultat de tout cela, c'est que, non seulement tu n'as pas signalé aux lecteurs de la N.R.F., les livres de Marie-Anne, mais encore que tu m'as tout l'air de vouloir créer une légende autour de Marie-Anne et de moi-même : « incontesttables, pires que les autres, etc... » Et ta lettre y ajoute ceci en ce qui me concerne, qui [sic] : « intransigeant quand il s'agit des autres, aveugle et ultra-exigeant quand il s'agit de Marie-Année ». Tu sais fort bien que c'est faux et que je ne souhaite pour ces livres qu'une étude attentive et non pas les éloges. Est Etait-ce trop [mot illisible] attendre d'un ami et d'une revue où on écrit depuis plus de dix ans ?
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– Pour ce qui est de mes observations de l'autre jour, elles étaient simplement celles que j'aurais formulées au Comité de Direction si j'y avais assisté. Tu t'abrites constamment derrière le Comité, tu lui fais partager tes responsabilités aux yeux des étrangers. En réalité