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nrf Paris, 3, rue de Grenelle (VIe) Jeudi. Cher Benjamin, J'ai bien peur qu'on t'ennuie horriblement. Mais si tu n'étais pas là, il nous faudrait renoncer aux îles BaléaresLes Paulhan reviennent de Port-Cros par les Baléares (Maajorque), en compagnie des Supervielle, au début d'octobre 1929.. Voici, pour les passeports, nos deux cartes d'identité. (Bien entendu, le passeport de Germaine doit être établi à son nom : Dauptain). Tu recevras d'autre part, en même temps que cette lettre, nos nouvelles photographies. Ne regarde donc pas celles-ci. Nous devons embarquer à Marseille le 27. Il faudrait donc que nous puissions trouver les deux passeports le 26 au soir. Voudras-tu les envoyer à : M. Jules Supervielle, Poste Restante, Marseille. (Puisque nous n'aurons pas nos cartes d'identité). Et pardon de te donner tout ce mal. * Merci de vos lettres. Nous gardons un grand et bon souvenir de ces quelques jours, où la vigie contenait Benjamin et Francis. Peut-être reviendront-ils,

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