l'espoir d'une solution… pas trop lointaine l'aident à « tenir le coup ». Mais j'ai peur que tout cela soit sans issue. C'est pourtant leur pensée qui m'empêche d'envisager tout à fait sereinement les solutions de découragement… Ah, tout cela n'est pas simple.)

Évidemment, je reconnais que sans Pilotaz (c'est-à-dire, en fait, sans vous) j'en serais déjà au point où il n'y a plus d'autres solutions. La générosité de P.P. [Paul Pilotaz] me donne du moins un ou deux mois de répit.Sait-on jamais ? Cela pourrait permettre à certaines choses de s'arranger. (Parce que je refuse aussi de désespérer a priori …)

Votre ennuyeux amiClaude Elsen

Mardi matin 11h1 /2 , comme convenu, puisque vous avez la gentillesse de ne pas me trouver trop ennuyeux...