vouloir me « libérer »),- et qu'enfin je ne voyais aucun avantage à ce que Russes et Américains saccagent l'Europe pour, ensuite, recommencer à s'y « expliquer » entre eux, ainsi qu'ils vont le faire.Mais à quoi bon revenir sur tout cela, n'est-ce pas ? Je serais, néanmoins, heureux d'en reparler librement avec vous.
J'espère vous voir un moment (un matin?) la semaine prochaine, et vous souhaite, en attendant, un Noël paisible (Yvette aussi, qui vous aime beaucoup).
Votre amiGérard