essayerait de m'y rejoindre pendant quelques jours (elle pourrait sans doute avoir une petite semaine de congé supplémentaire, et comme elle voyage gratuitement…)
J'insiste , bien entendu, pour que cela ne vous prenne ni temps, ni démarche importune.
Sans doute verrai-je la semaine prochaine M. Orengo (de Plon) pour mettre au point la question de l'ouvrage qu'il est question que je traduise pour lui, et celle de l'essai auquel je m'attaquerais après les vacances. J'espère que cela se réglera favorablement, et me permettra de décharger quelque peu votre amitié du souci de m'aider sans cesse. Je vous dirai.(Savez-vous à quel point il peut être embarrassant d'être ainsi l'objet d'une constante bienveillance, sans pouvoir y répondre autrement que par de l'amitié ? Non, vous ne devez pas savoir. Et c'est en même temps un sentiment ambigu, car la gêne s'y mélange d'une certain chaleur assez rassurante…)
Discuté avec Dumay vos réponses à mes questions (l' « entretien » est paru ce matin, vous l'avez sans doute). Il semblait enclin à vous faire grief