ment qui m'est venu de vous importuner en vous écrivant sans cesse… Il n'est pas nécessaire du tout que vous répondiez à ces billets – mais du moins voudrai-je savoir s'il ne vous agace vraiment pas d'avoir à les lire.Vous êtes – je vous le dis très simplement – la dernière personne que je souhaiterais ennuyer ou indisposer. (Je dis : la dernière, parce que, en général, la sympathie ou l'antipathie que j'inspire me sont assez indifférentes…)
Votre amiClaude Elsen