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de même, il ne faut pas m'en vouloir si j'ai cédé à la tentation de la liberté : ces 4 ans ont été (moralement) très pénibles, je vous assure. Et si c'était à refaire, je ne sais pas si je pourrais. Si je n'avais pas eu une fille, je ne sais pas si j'aurais pu (à vous je peux bien dire que c'est sa pensée qui m'a retenu de me tuer, en 46, par lassitude, et par dégoût – et ajouter, par contre, que si j'ai repris un goût actif à ma propre existence, depuis un an, c'est pour beaucoup à vous que je le dois : quand je vous parle des services que vous m'avez rendus, c'est d'abord à celui-là que je pense, voyez-vous…) Vous absentez-vous à Pâques, ou si je puis espérer vous voir un des ces jours-là ? Je suis votre amiClaude Elsen

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