Je ne sais pas si tout cela est bien clair, ni bien intéressant. Tant pis. J'avais besoin d'en parler. Je ne cherche plus à savoir pourquoi c'est à vous. Votre patience, peut-être, et le sentiment que vous entendez ? (J'espère que ce besoin permanent de vous prendre pour confident ne vous ennuie pas trop.)
Je vous verrai samedi, onze heures 1 /2 .
Votre amiClaude Elsen