remets donc ma démission. Étant tacitement entendu qu'en cas d'embauche ou de besoin, dans quelques mois, ils referont appel à moi.Je reste bien entendu au Syndicat des correcteurs : c'est une précaution matérielle et une « couverture » morale, en cas de besoin.Il me reste à espérer que je ne mourrai pas de faim après l'été,- mais pour l'instant, rentrer chez Lang est au-dessus de mes forces…
Votre amiClaude Elsen
Vendredimerci de votre mot,comme vous voyez, j'avais relevé l'écho hebdomadaire que vous consacrent les Lettres…
CE