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lundi [1950] Mon cher Jean, Oui, il vous arrivait bien de m'appeler Claude (ou Gérard), et cela me faisait plaisir. Mais moi, je n'osais pas, sans votre permission. Le roman de Pilotaz pour la Guilde, hélas, impossible avant 15 jours  : le manuscrit, sur lequel nous avons travaillé, est illisible, et entre les mains d'une dactylo. (Quant au mien… D'abord il y manque une cinquantaine de pages, disparues et irrécupérables. Ensuite il est impubliable, pour des raisons politiques et psychologiques que vous comprendrez en lisant.) J'attends aujourd'hui ou demain la venue de Pilotaz à Paris, où il a une conférence bananière. Il compte aussi profiter de son passage pour m'acheter une machine à écrire. C'est une idée à lui, aussi généreuse qu'un peu embarrassante. Bien sûr, avec son manuscrit, dans 15 jours, je vous donnerai une note détaillée. Il faudra que vous me disiez s'il convient d'y parler de ce livre comme d'un ms [manuscrit] jamais lu, ou

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