Vous visualisez actuellement un média autre que celui transcrit/à transcrire.
M. Paul Pilotaz, Gilly-sur-Isère, Savoie. Jusqu'au 2 septembre, je pense.) En Belgique, rien ne se tasse. L'affaire royale, plutôt que d'en distraire les esprits (si l'on peut ainsi s'exprimer), aurait réveillé toutes les haines. Ce pays est absurde. Je ne l'aime décidément pas. Il me le rend bien. Nous n'avons plus rien à faire ensemble. Si seulement, ici… Évidemment aussi, ces quelques jours ont fait passer à l'arrière-plan mes préoccupations « internationales ». Mais je me sens, à nouveau, assez terriblement seul,- ces deux présences étant redevenues d'obsédantes absences… Je suis, fidèlement, votre amiClaude Elsen (Oui, je préférerais que vous m'écriviez, dans quelques jours, chez P. [Pilotaz])(J'oubliais : Spitz étant absent jusqu'en septembre, je me suis autorisé à dire à ma femme au cas – fort improbable – où elle aurait d'ici là quelque chose d'important ou d'urgent à me communiquer, de vous l'écrire, rue des Arènes.)

Conseils