il en résultait pour le lecteur une impression gênante : il confondait les trois, et ne savait pas toujours qui parlait. J'ai imputé à un seul narrateur impersonnel toute l'histoire. b) Il y avait une introduction et une postface commentant le récit du point de vue « moral », de manière un peu lyrique et un peu naïve. Vers le milieu du livre, aussi, le narrateur à son tour faisait des commentaires du même ordre. J'ai supprimé tout cela, le réduisant à une note de deux pages, à la fin du récit. c) Je compte reprendre avec P. [Pilotaz] lui-même l'épilogue proprement dit du récit. d) À son titre, que je trouve mauvais (« Noirs, mes frères »), je lui propose d'en substituer un autre : « Le Cinglé », ou « Le chemin des hommes ».
Que vous dire encore ?Il me semble que les choses vont, incessamment, prendre un vilain tour à Formose. Et alors…(Je me demande bien ce qui se passerait pour moi si l'on prenait des mesures de mobilisation.)
Votre (soucieux) amiClaude Elsen
(Je poursuis néanmoins, activement, mon Homo eroticus )