paraître de vendredi en quinze. Je pense donc avoir le temps de vous le soumettre avant de le donner, dans 8 ou 10 jours. (Tout de même que ma chronique pour la Table.)
Je crois que je vais être amené (devant prendre une décision assez rapidement) à donner mon congé définitif à M. Lang. Les perspectives Comœdia me paraissent bonnes. Et je vous avoue que ces quatre années de servitude salariée m'ont amené bien près du point de saturation… (Il y avait des moments où j'éprouvais une dangereuse tentation d'abattre mes cartes, rien que pour changer…)
Votre amiClaude Elsen
(Oui, j'avoue, ayant fait l'expérience des deux, qu'entre la prison et l'usine, la différence me semble assez peu sensible – et pas toujours à l'avantage de l'usine, dont la seule supériorité est qu'on garde l'illusion de pouvoir en sortir. Mais ce n'est pas toujours plus qu'une illusion.)