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égards, s'impatiente. Elle voudrait me rejoindre (ce qui est évidemment impossible encore). À défaut, venir plus fréquemment ici (ce qui présente des difficultés de diverses sortes, que je ne puis pas toutes lui expliquer, me semble-t-il). Et s'insurge contre ma prudence (qu'elle juge excessive) et mes réticences (qu'elle attribue à de l'indifférence). Et me boude (me laissant sans nouvelles depuis plusieurs semaines). Jean, ce n'est pas facile de tout concilier et, par surcroît, de ne pas faire mal à ceux qu'on aime. Dieu sait pourtant que j'essaie. Mais c'est là que je me sens très seul.J'ai peur aussi, parfois, que le temps et l'espace aient mis entre elle et moi plus de distance que nous pensions l'un et l'autre. Comment savoir ? Et, sachant, comment faire en sorte que tout reste clair, net, sans cette misère qui s'attache trop souvent aux « drames du cœur » ? Y a-t-il en ces choses des compromis possibles ? J'aime ma femme et ma fille, j'aime Yvette. Je les aime sincèrement, profondément, et, je crois, honnêtement. Est-ce ma faute ? Et faudra-t-il nécessairement que cela tourne au drame pour l'un de nous, peut-être pour tous les quatre ?Mais excusez ces inutiles épanchements… G.

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