« alimentaires ». C'est vous dire qu'une nouvelle fois j'ai dû renoncer à tout travail personnel, ne pouvant m'offrir le luxe de refuser les travaux « payants » qu'on me propose.C'est la deuxième ou la troisième fois que les choses se passent ainsi depuis six mois. Chaque fois, je me rends compte qu'il est absurde, dans ma situation (matérielle), de faire des projets, de vouloir faire œuvre personnelle – puisque, chaque fois, mes velléités sont tuées dans l'œuf. Je dois, me semble-t-il, avoir la sagesse de ne plus penser à tout cela – fût-ce avec un peu d'amertume…
Nous vous embrassonsClaude