Paris. 6 rue Myrha le 1. avril 1931 Cher monsieur Paulhan

Je me suis présenté pour vous voir vendredi dernier, encore ignorant du deuil qui vous avait frappé.

Je tiens à vous assurer de mes condoléances sincères.

Je vous remercie de la bienveillance que vous m'avez montrée et vous prie de croire à mes sentiments choisis.

Jean Follain