Paris, le 12 févier 1935
Monsieur Panaït Istrati
C/o Monsieur Ionescu
24, rue du Colisée
Paris
Cher Panaït Istrati,
J'ai donné le Lac Salé
Publié dans La Nouvelle Revue française, février 1935, p. 232-257.. Il m'a fallu faire quelques coupures, pour mieux l'isoler. Ce n'ont été que des corrections insignifiantes.
De tous côtés, on m'en parle avec beaucoup d'amitié, ou d'enthousiasme.
(Dites-moi où je dois vous faire envoyer les mille francs que vous doit la N.R.F.)
Quand vous reverra-t-on ?
Je vous serre bien amicalement les mains.
JEAN PAULHAN
Je serai bien heureux d'apprendre que vous avez enfin éclairci la situation Rieder. Méditerranée m'est restée sur le cœurVoir lettres du 23 janvier 1934 et du 20 janvier 1934.
Comment allez-vous ? Je voudrais bien recevoir une lettre qui me l'apprenne.